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Association Académique (France), Parcourir ses opportunités similaires
Le Réseau international des chercheurs en génocide (INoGS) a été fondé en janvier 2005 à Berlin pour fournir des études de génocide avec un forum non-partisan pour présenter des recherches et des analyses sur tout aspect du génocide et d'autres formes de violence collective. Parce que le génocide est un concept juridique, historique, sociologique et politique hautement contesté, l'INoGS a, depuis sa fondation, maintenu son soutien à l'analyse dirigée par la recherche plutôt qu'à des programmes politiquement définis.
La série de Conférences mondiales organisées par l'INoGS depuis 2009 à Sheffield, Brighton, San Francisco, Le Cap et Jérusalem, a connu une intensification de l'engagement scientifique avec un éventail de questions fondamentales dans le domaine des études sur le génocide, y compris des approches théoriques et méthodologiques. sujet, les bases juridiques et éthiques sur lesquelles s'appuyer pour aborder les épisodes de violence extrême, ainsi que la nécessité de développer des moyens plus efficaces d'arrêter et de prévenir la violence de masse au niveau mondial.
Pendant plus de 70 ans, suite à l'analyse séminale développée par le juriste Raphael Lemkin, des universitaires, des praticiens et des chercheurs de diverses disciplines ont abordé la question du génocide et de la violence de masse en utilisant un large éventail d'approches empiriques et théoriques. à travers l'histoire. La recherche interdisciplinaire à travers les sciences humaines, juridiques et sociales, ainsi que les approches comparatives ont ainsi caractérisé les études génocidaires.
Cependant, même si la violence extrême est pertinente dans divers domaines médicaux tels que la psychologie, la psychiatrie et l'anthropologie médico-légale, le dialogue avec les sciences humaines et sociales a été lent à se développer. La 6ème Conférence Mondiale de l'INoGS, qui se tiendra à la Faculté de Médecine de l'Université Aix-Marseille (France) du 4 au 7 juillet 2018, vise ainsi à ouvrir de nouvelles voies de recherche sur la violence extrême tout en stimulant les échanges interdisciplinaires et les sciences médicales. La détection précoce et la prévention de la violence de masse représentent un défi mondial pour chacun de ces domaines de connaissance.
Cette conférence cherchera donc à discuter de divers exemples de crimes de masse passés et contemporains, à approfondir les causes ainsi que les effets à court et à long terme des processus génocidaires, et à favoriser le dialogue entre les parties prenantes qui échangent rarement leurs points de vue.
Les organisateurs invitent les propositions de documents, de tables rondes et de tables rondes sur tous les aspects du génocide et de la criminalité de masse. Nous sommes particulièrement désireux de recevoir des propositions d'Amérique latine, d'Asie et d'Afrique. Les chercheurs travaillant sur des sujets tels que la violence sexuelle, les disparitions forcées, la torture, les traumatismes massifs, la séparation forcée des enfants de leurs familles, la résolution des conflits et les initiatives de médiation sont particulièrement encouragés à soumettre des résumés. Les présentations sur les expériences récentes de violence de masse, telles que celles en Syrie, au Darfour, en Irak, au Mexique, en Colombie et au Myanmar sont expressément les bienvenues. Nous encourageons la soumission de documents et de groupes de discussion sur les problèmes de contamination et de confinement de la violence. Un autre thème d'intérêt particulier est celui de l'intervention humanitaire et des défis éthiques qu'elle pose.
D'autres sujets d'intérêt incluent, mais ne sont pas limités à:
Droit international, tribunaux pénaux et Cour pénale internationale Intervention humanitaire et militaire 3 Justice transitionnelle Exhumation massive et identification des victimes Banques d'ADN
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